Ahhh, Kozina. Et bien franchement, ce n'est pas très beau. Mais on s'en fout, les souvenirs ressurgissent. On s'arrête au casino hôtel qui nous avait accueilli 1 an plus tôt. Les prix ont doublé en cette période faste, on n'y séjournera pas cette fois-ci. Par contre, on se rappelle de notre auberge serbe où l'on s'était fait péter 2 fois. Pas moyen d'être si proche de là et de manquer l'occasion d'y retourner. Et qu'est-ce que c'est toujours aussi bon! Mmmh, on en salive en y repensant!