La capitale se rejoint rapidement en bateau depuis Tas-Sliema. C'est en fait un quartier de la ville pourrait-on ainsi dire. C'est donc très petit. On découvre tout d'abord son bord de mer, peu accueillant pour les nageurs mais riche en lieu historique. On passe à côté entre autres du Fort St. Elmo qui abrite aujourd'hui un musée de la guerre. Même si la Marie nous le recommande, on préfère découvrir le reste de La Valette, ses ruelles, ses parcs, ses églises. Je ne me rappelle plus très bien de ce lieu, il n'était particulièrement marquant, si ce n'est la basilique anglicane de Carmes, facilement reconnaissable de par son dôme imposant. Détruite pendant la guerre et reconstruite durant plus de 20 ans, celle-ci offre une image identitaire à la cité. Son intérieur avec ses colonnes de marbre rouge a de la gueule. Au bout d'un moment, on se pose sur une place à une terrasse pour boire un verre mais il n'y en a aucune à l'ombre. Il fait tcha et les serveurs ne passent pas prendre notre commande, ça nous laisse le temps de nous décider de déguerpir, ça vaut mieux avec ce soleil, je vais cramer!!! On trouve un autre endroit, avec une mignonne petite terrasse étroite dans une ruelle tout autant resserrée. C'est plus cher, mais qu'est-ce qu'on y est mieux, parfait pour battre ma patate au rami! :-) On ne peut toutefois pas rester trop longtemps car en fin de journée, on a un vol qui nous attend et on ne va pas jouer aux cons, on va y aller assez tôt, d'autant plus avec ce bus qui peine à avancer. Alors direction le port pour reprendre le bateau pour Tas-Sliema.