Nous revl'à du côté de l'aéroport de Bâle. On y était venu la dernière fois pour nous rendre en Pologne (en octobre dernier) et la moindre qu'on puisse dire, c'est qu'on y croise plus de monde que lors de notre précédent passage. Comme l'an dernier, il y a un relâchement durant ces vacances estivales et les gens en profitent pour filer voir si l'herbe est plus verte ailleurs. Rien que devant la porte principale, on voit plus de gens qu'en automne dernier haha! C'était alors particulièrement impressionnant il faut avouer.

On passe l'unique écueil qu'il nous f... ah non, en fait non, on revient sur nos pas. On a oublié de retirer des euros et on a convenu de payer notre hôte avec cette devise. Le hic, c'est qu'on a déjà scanné notre carte d'embarquement. On demande donc si on peut vite aller chercher des euros dans le hall central (car on ne parvient pas à nous assurer qu'on puisse en retirer vers les gates). Les employées de l'aéroport se montre très gentille et nous accompagne vers le responsable des tickets et l'informe qu'on va revenir dans 2 minutes, ce qui ne pose aucun problème. Merci bien! :-)

Donc, on passe ensuite réellement l'unique écueil de l'aéroport car on voyage léger. On a chacun qu'un petit sac à dos. C'est largement suffisant pour un tel trip. On n'a ainsi point besoin de faire de check-in sur place ni évidemment de déposer d'autres bagages. Tout va donc très vite et on se retrouve ni une ni deux devant notre porte d'embarquement. On y fera la queue de longues minutes (on ne comprend pas trop pourquoi ça n'avance pas) puis on embarque avec un poil de retard. On verra si le pilote parviendra à le récupérer.

Une fois de plus, on voyage séparément, comme avec RyanAir lors de nos récents vols reliant Lisbonne à Ponta Delgada. Les stratégies des deux compagnies semblent similaires pour se faire des ronds.